Après quelques jours passés à tester Capella, je vous donne mes premières impressions.
Je dis bien "impressions", car il m'aurait fallu quelques heures de plus pour faire le tour de cet éditeur de partitions qui ne ressemble en rien à ceux que nous avons déjà présentés et comparés dans
notre dossier dédié au sujet.
Lorsque j'ai ouvert Capella, j'ai tout de suite été frappé par le grand nombre d’icônes de ses barres d'outils. L’interface rappelle fortement celle d'un traitement de texte et par la suite l’utilisation du logiciel va renforcer cette première impression.
Le clavier est au centre de l'ergonomie du programme et si la souris a son utilité, de très nombreuses actions sont optimisées ou seulement accessibles par de nombreux raccourcis clavier.
Le logiciel en a clairement sous le capot, mais il faut se donner la peine de l'apprivoiser...
Impossible de sortir mes premières partitions dignes de ce nom sans aller consulter la documentation, certes charnue, mais très claire et en français.
Passée cette première initiation incontournable, force est de constater que les possibilités du logiciel sont largement suffisantes pour la plupart des usages, mais encore une fois, il s'agit de mes premières impressions et pas d'un test complet.
Pour finir, je dirais que Capella est un éditeur de partitions qui plaira aux habitués des programmes Windows. Son interface affiche d'ailleurs clairement son appartenance à cette famille. Les utilisateurs de Mac et autres Linux, adeptes d'une ergonomie plus minimaliste, passerons leur chemin, et c'est bien comme ça car Capella n'existe qu'en version Windows.
Si j'ai éveillé votre curiosité sur ce logiciel encore peu connu, vous pouvez vous faire votre propre idée en essayant la version de démonstration que l'éditeur met à votre disposition sur
son site.
Nous aurons probablement l'occasion de revenir sur ce logiciel qui gagne à se faire connaître.
