Glossaire pour Croque-Notes
Sommaire
Qu’ont en commun les mythes de Pan et Syrinx ou d’Ulysse et les Sirènes, la poésie d’un Arthur Rimbaud ou d’un Charles Baudelaire, l’histoire des Musiciens de Brême ou les Kreisleriana d’un ETA Hoffmann… ? Toutes ces œuvres et leurs créateurs célèbrent l’histoire d’amour entre les arts du langage et la musique. Non non, n’ayez crainte ! Aucun atelier d’écriture ni exercice de style en vue ! Voici juste un tour d’horizon des expressions idiomatiques venues du monde musical et passées dans l’usage courant … l’occasion de vérifier que chacun connaît bien ses gammes !
Sur le bout de la langue
L’italien est une langue chantante. On le dit. Mais, petite consolation, il n’y a rien de mieux que le français pour exprimer toute l’ampleur de l’harmonie des mots !
Parlée par environ 274 millions de personnes ( soit 1 personne sur 26, eh oui quand même ! ), la langue française est présente sur tous les continents.
Elle est la langue diplomatique par excellence, et ce depuis le 14e siècle, d’abord en Europe, puis à l’échelle mondiale à compter du 17ᵉ. Elle le doit à son procédé très développé de substantivation qui assure aux idées une précision redoutable doublée d’une concision inégalée, qualités majeures pour tout discours ou pourparler.
Sa forte présence internationale a laissé bien des empreintes, mâtinant les autres langues d’expressions françaises, ou au moins de racines étymologiques françaises. Ainsi, il paraît que l’anglais est composé de 70 à 72% de mots d’origine française ( dixit Wikipédia ). Cocorico…
D’une sémantique très riche, la langue de Molière joue les voltigeurs entre jeux de mots, contrepèteries et autres traits d’esprit, faisant le régal des beaux-parleurs. En bref, c’est une langue qui nous enchante sur tous les tons : en route Maestro ! C’est parti pour toute une symphonie !
( Toutes les expressions de ce glossaire sont classées par thème. )
Le papier à musique
Nous ne saurions commencer un tel glossaire sans nous attarder sur une certaine expression, si emblématique pour notre site...
Être réglé comme du papier à musique.
Le papier est une matière d’origine végétale qui existe depuis l’antiquité. Le plus ancien exemplaire que nous connaissons a été retrouvé en Chine et date de l’an 8 av. J.-C.. Avant d’être presque exclusivement constitué de fibres de cellulose extraites du bois, on a longtemps fabriqué le papier à partir de chiffons, surtout de lin et de chanvre, puis de coton. Broyés, déchiquetés, effilochés, on les transformait en une espèce de pâte de fibres qu’il convenait de faire sécher en fine couche pour obtenir du papier. Malgré tout, ces matières tissées étaient chères et les bagarres étaient âpres pour récupérer tous les bouts de linge recyclables en pâte à papier. Ces échauffourées ont donné l’expression « se battre comme des chiffonniers » !
Qu’est-ce qu’un « papier réglé » ? Il s’agit d’un papier sur lequel sont dessinées des lignes propres à une utilisation bien précise. Ainsi en est-il du papier à grands ou petits carreaux, du papier pour la correspondance, du papier millimétré... et bien sûr du papier à musique. Voici des papiers à la vie toute tracée ( sans jeu de mots ! ), à la destinée déjà écrite et d’une constance implacable.
L’expression « être réglé comme du papier à musique » s’emploie pour désigner le bon ordre des choses, où rien ne dépasse ni ne manque, où tout arrive comme on s’y attend. Tout y est prévu et prévisible. Se dit d’un caractère routinier, d’une situation dont on connaît l’issu par avance, d’une opération menée avec l’exactitude attendue… Bref, sans surprise aucune !
Le chant
Faire sa diva
Faire des caprices … comme une star.
Origine : l’expression apparaît au 19ᵉ siècle, dérivée du terme italien diva qui signifie déesse.
Chanter comme une casserole / comme une seringue
Chanter faux.
Origine : il semble que l’expression avec seringue soit apparue au début du 19ᵉ siècle.
Faire chanter quelqu’un
Exercer une pression morale par le chantage.
Origine : l’expression existe déjà en 1725 dans le Dictionnaire Français et Latin de Joseph Joubert.
Que me chantez-vous là ?
Expression qui manifeste le doute et l’étonnement cumulés.
Avoir l’air et la chanson
Qui marque la différence entre ce que l’on croit et ce qui est.
L’air n’est pas la chanson
Ne pas se fier aux apparences.
Si ça me chante !
Interjection d’autonomie et d’indépendance de choix.
C’est toujours la même chanson / le même refrain
Se dit d’une situation ou d’un discours qui n’évolue pas
Chanter les louanges
Faire la promotion, l’éloge de quelqu’un ou de quelque chose.
Pousser la chansonnette
Chanter, mais d’une manière légère et peu sérieuse.
Se faire chanter Ramona :
Équivalence : se faire passer un savon.
Origine : en 1636, Philibert Monet explique, dans son Inventaire des Deux Langues Française et Latine, que « ramoner » consiste en un balayage de la cheminée avec un ramon (= balai de cheminée). Il s’agit de nettoyer … on n’est pas loin du savon !
Quant à l’idée de chanter, Ramona fut une chanson très célèbre au début du 20ᵉ siècle. Le temps faisant son œuvre, les deux idées se seraient rapprochées pour donner l’expression que nous connaissons aujourd’hui.
Chanter sa gamme
Faire tous les reproches possibles.
Des trémolos dans la voix
La voix qui tremble d’émotion.
Origine : de l’italien tremolo qui veut dire tremblant.
Se payer de chansons
Se contenter de peu.
Con comme un ténor
Plus bête, tu meurs !
Équivalence : ne pas avoir inventé l’eau chaude, bête comme ses pieds…
Petit + : la suite de l’adage dirait aussi « ivrogne comme une basse et amoureux comme un baryton » … comme c’est réjouissant !
Les cordes
Avoir un violon d’Ingres
Se dit d’une personne qui pratique une passion de façon non professionnelle.
Origine : le peintre français Jean Auguste Dominique Ingres (19ᵉ S.) avait une seconde passion, le violon, qu’il pratiquait avec talent. On dit même qu’il fut deuxième violon à l’orchestre du Capitole de Toulouse. L’expression lui fait donc référence.
Jouer sur la corde sensible
Chercher à émouvoir d’une manière délibérée.
Accorder ses violons
Se mettre d’accord.
L’accord du violon consiste à faire sonner juste les cordes entre elles. Préalable indispensable à l’orchestre pour que tout le pupitre sonne « d’accord », c’est-à-dire juste, afin de pouvoir jouer ensemble.
Pisser dans un violon / Souffler dans un violon
Expression du 19ᵉ siècle qui signifie que l’action est totalement inutile.
Passer la nuit au violon
Aller en prison.
Origine : expression qui remonterait à l’époque de Saint-Louis (13ᵉ S.).
Une table violon
Guéridon à pied central dont le plateau présente des courbes qui rappellent celles du violon.
Les vents
À cor et à cri
Avec beaucoup de bruit.
Origine : expression en provenance du milieu de la vénerie, où il s’agissait de chasser à grand bruit avec les chiens et le cor de chasse. Attention donc à l’orthographe, il ne s’agit pas du mot « corps » mais bel et bien de l’instrument de musique.
En fanfare
Bruyant, tapageur avec panache. La fanfare est un ensemble musical essentiellement composé de cuivres, avec parfois des percussions. Tout pour être discret !
Épais comme un trombone
Vraiment très maigre.
Origine : l’instrument de musique a donné son nom à une petite agrafe rappelant sa forme. Toute petite et toute fine, elle a ensuite inspiré l’expression qui désigne un petit gabarit « gros comme une crevette ».
Le nez en trompette
S’emploie pour désigner un nez retroussé, haut perché, dont la courbe de profil rappelle celle du pavillon de la trompette.
Sonner le clairon
Alerter haut et fort.
Origine : militaire.
Jouer du pipeau
Raconter des balivernes.
Origine : Le pipeau (ou pipet) est un appeau destiné à tromper les oiseaux pour les attraper.
Se rincer la cornemuse
Boire.
Équivalence : se rincer le gosier.
Ce qui vient par la flûte s’en va par le tambour
Bien mal acquis ne profite jamais.
Jouer des flûtes/se tirer des flûtes
S’enfuir, prendre la poudre d’escampette.
Ajuster ses flûtes
Prévoir ses moyens d’agir.
Astiquer ses flûtes
Préparer sa fuite.
Flûte !
Zut !
Équivalence : crotte ! Mince ! …
Les flûtes
Les jambes.
Un accordeur de flûtes
Expression d’argot du 19ᵉ siècle qui désigne un juge de paix.
Avoir toujours la flûte au c..l
Prendre souvent des clystères. (Totalement argotique !)
Les claviers
Ne tirez pas sur le pianiste
La critique est aisée, l’art est difficile.
L’expression en appelle à l’indulgence face à une situation pas forcément évidente.
Origine : Oscar Wilde aurait popularisé la formule dans son œuvre Impressions d’Amérique.
En accordéon
Se dit de plis successifs qui rappellent le soufflet de l’accordéon.
Avoir des mains de pianiste
Compliment laissant croire que les pianistes ont de belles mains, longues, aux doigts fins, précis et agiles …
Pianoter
Tapoter négligemment des doigts.
Le clavier
Il désigne tout assemblage de plusieurs touches à actionner avec les doigts.
Origine: le clavier était d’abord une chaînette qui servait à joindre toutes les clés ensemble afin de ne pas les perdre. Le terme a ensuite désigné la partie avant du clavecin (épinette, orgue …) rassemblant toutes les touches qui permettent d’actionner le mécanisme du son. Clavier ainsi nommé, car il permet de jouer… toutes les clés de la musique ! (Dictionnaire Universel d’Antoine Furetière – 1690).
Le piano de cuisine
Le fourneau.
Origine : si les cuisiniers professionnels appellent ainsi l’appareil de cuisson principal de leur cuisine, le terme n’apparaît pas dans le dictionnaire Le Trésor de la Langue Française, et serait donc à considérer comme du jargon du métier.
Le piano à bretelles
Terme argotique pour désigner l’accordéon.
Équivalence : piano du pauvre, boîte à frisson, branle-poumons, boîte à chagrin, soufflet à punaises, dépliant, calculette prétentieuse, boîte à soufflets et boîte du diable. (cf. Wikipédia)
Les percussions
Tambour battant
Vivement, promptement.
Battre le tambour
Informer, faire circuler la nouvelle.
Tout un carillon de bonnes nouvelles
Expression qui désigne un grand ensemble (de bonnes nouvelles, en l’occurrence ici), l’idée de toute une envolée de cloches annonciatrices.
Se faire sonner les cloches
Être réprimandé haut et fort.
Équivalence : se faire chanter la messe en breton.
Faire sonner la plus grosse cloche
Cela revient à solliciter l’avis de la personne la plus haut placée.
Détonner
Si, en musique, cela signifie « sortir du ton », le terme s’applique également pour expliquer la sensation de quelque chose qui sort du rang. Ainsi, cette écharpe détonne avec cette tenue sous-entend que cela manque d’harmonie, comme une fausse note dans le décor.
Sans tambour ni trompette
Sans faire grand bruit et avec peu de panache. Tout le contraire de « en fanfare » !
Raide comme des baguettes de tambour
L’expression désigne le raidissement et le droit extrême. Pour être efficaces, les baguettes de tambour doivent être d’un bois bien dur, solide et très droites. Pour sûr, on n’obtiendrait pas grand-chose avec des baguettes molles et courbes !
Être de la cloche
Signifie faire partie des clochards.
Origine : Le terme cloche viendrait du latin clocca pour désigner l’objet qui sonne les heures et rythme les prières. Son dérivé clochard pourrait venir de ce que l’on sonnait les cloches pour annoncer la fin des Halles parisiennes, ce qui permettait de récupérer les invendus. Une explication parmi d’autres …
Le grelot qui sonne
« Gaston, y a l'téléphon qui son … »
Avoir le(s) grelot(s)
Si l’expression au singulier veut dire « trembler de froid », au pluriel elle veut dire « trembler de peur ».
Origine : fait référence au grelot, boule creuse de métal qui contient une petite bille pour tinter. A donné le mot grelotter qui signifie trembler.
Être sonné
Être abruti comme par un choc.
Sonner le tocsin
Le tocsin est une sonnerie particulière de cloches qui annonce un danger imminent. Les cloches ont cessé de le sonner à compter de 1960 en France, remplacées par une sirène d’alerte.
Origine : du vieux provençal tocasenh qui associe tocar (toucher) et senh (cloche), a ensuite donné touquesain à la fin du 14ᵉ siècle.
La danse
Le ballet (des officiels, diplomatique...)
Ensemble d’éléments parfaitement coordonnés dans le but de faire impression.
Origine : le mot ballet vient de l’italien balleto, diminutif de ballo (danse), et venant du latin ballare (danser), dérivé lui-même... etc.
Une contredanse
Terme familier pour désigner une contravention.
Faire la java
Faire la fête.
Origine : danse populaire apparue dans les années 1930 à Paris, la java se danse à petits pas dandinés sur 3 temps.
La rythmique
Aller plus vite que la musique
Signifie que l’on ne suit pas l’ordre ou la vitesse des événements.
Équivalent : mettre la charrue avant les bœufs.
Forcer la cadence
Presser l’action, vouloir aller plus vite.
Battre la chamade
Affolement du cœur sous le coup de l’émotion amoureuse.
Origine : autrefois, lorsqu’une ville ou une population se rendait après des hostilités, elle battait au tambour un rythme bien particulier appelé chamade. Ainsi, quand votre cœur bat la chamade, il vous indique qu’il se rend...
En deux temps trois mouvements
Très rapidement.
Origine : issue de l’expérience militaire (deux temps), l’expression montre que même en multipliant la tâche (trois mouvements), cela reste très facile à faire.
Au temps pour moi
Revient à s’excuser d’une erreur ou d’une méprise.
Origine : La question est clivante et pour l’heure, nul n’a la réponse. Certains disent que l’expression vient du langage militaire, d’autres du milieu musical : l’expression viendrait des chefs d’orchestre qui avaient l’habitude de dire à leurs musiciens se décalant par rapport à la battue, « Au temps ! Au temps ! Au temps pour moi ! ». Certes, on en a vu hurler de rage sur leurs musiciens, d’autres en casser leur baguette, mais aucun dire cette phrase... qui n’a d’ailleurs aucun sens en musique. Et pourtant, la légende perdure.
L’analyse
Le parfait accord
Sans accord, point d’harmonie. Ainsi, étendu à tout autre domaine que la musique, cela signifie que l’objet ou la personne est parfaitement à sa place et qu’un déséquilibre en surviendrait si on l’y enlevait.
En contrepoint
Littéralement « point contre point », c’est, en musique, l’idée qu’une ligne mélodique est accompagnée non par des accords, mais par une autre ligne mélodique, au plus près de la première. Le sens étendu indique un effet en parallèle, simultanément.
Mettre un bémol
Infléchir un peu une idée, un sentiment. Tout comme le bémol baisse la note...
Vivre en harmonie
Tout en équilibre, à sa juste place.
Faire une fugue
L’expression est passée dans le langage courant pour désigner l’échappée d’un jeune qui quitte brutalement son foyer sans prévenir.
Origine : du latin fugere qui veut dire « fuir », le terme de fugue désigne une pièce musicale où le thème principal passe d’une voix à l’autre. C’est un peu comme un canon, mais en plus élaboré.
Répéter sur tous les tons
Dire de toutes les manières possibles et imaginables, en référence à toutes les marches ( ou tons) de la gamme.
Une gamme
Toute l’étendue possible sans oublier un seul élément. Ainsi en est-il d’une gamme de couleurs, de produits...
L’écoute
La justesse de l’analyse / du propos
L’expression suppose qu’une situation a été parfaitement étudiée, avec exactitude et précision.
Se mettre au diapason
S’il s’agit de s’accorder en musique, dans le domaine général l’expression signifie que l’on se synchronise, que l’on se met sur le même plan, voire que l’on tombe d’accord.
Donner le LA
Celui qui donne le LA donne le point de repère auquel tout le monde se réfère, tout comme le hautbois donne le LA à l’orchestre.
Élever le ton
L’expression s’emploie lorsqu’une personne commence à se mettre en colère, comme si sa voix montait progressivement vers les aigus sous le coup de l’échauffement émotionnel.
La mettre en sourdine
À l’instar des cuivres qui mettent une sourdine pour jouer moins fort, cela induit de parler moins fort, de revoir à la baisse un propos.
Équivalence : mettre un bémol.
Le cœur à l’unisson
Indique que le cœur bat à la même intensité, au même rythme qu’un autre. Cela représente l’accord parfait sur le plan émotionnel.
Plus...
Orchestrer un événement
Cela revient à prévoir tout le déroulement de l’événement, des temps forts jusqu’aux plus petits détails, en attribuant les tâches à chaque partie prenante. De la même façon, orchestrer un morceau revient à répartir le rôle de chaque pupitre pour le meilleur déroulement de l’œuvre.
Un concert (d’approbations, d’applaudissements…)
Le terme s’emploie pour signifier une expression unanime, le concert représentant ici tout l’ensemble.
En avant la musique !
L’exclamation revient à donner le coup d’envoi d’un mouvement de groupe, d’une manière dynamique. Il y aurait presque une connotation un peu militaire dans cette expression, du genre « oui Chef ! Bien, Chef ! ».
Équivalence : en route Maestro !
Connaître la musique
S’emploie pour signifier que l’on connaît la situation par cœur, que ce n’est pas la première fois que l’on y est confronté.
La musique adoucit les mœurs
Miroir de l’âme, la musique est un langage universel qui ne peut que réunir les individus et gommer les divergences.
Changer de disque/de refrain
Supplique qui sous-entend que l’on frise l’abrutissement total à la longue d’entendre toujours la même chose.
La mélodie du bonheur
L’expression viendrait-elle du film du même nom datant de 1965 ? En tout cas, si elle suppose que tout va bien dans le meilleur des mondes, elle sous-entend aussi un petit côté « cul-cul-la-praline » à la situation.
Le prélude (des festivités…)
Le terme désigne en musique ce qui vient avant l’œuvre, en apéritif en quelque sorte. Il appartient maintenant au langage courant pour designer ce qui précède un événement.
Se la jouer solo
En opposition au tutti qui veut dire « tous ensemble », l’expression est plutôt péjorative et désigne quelqu’un qui ne pense qu’à lui et ne s’occupe que de lui, peu importe les conséquences pour les autres.
Et chez vous, que dit-on ?
Ce glossaire n’est pas un dictionnaire même s’il est déjà bien achalandé. Ce premier tour d’horizon ne demande bien sûr qu’à être complété !
Il nous plairait, chers PapierMusiciens, que vous nous fassiez part de vos découvertes dans le domaine, afin d’enrichir ce glossaire de nouvelles expressions ou d’explications pertinentes…
Pourquoi ne pas nous lancer dans un petit tour du monde ? Le français de Paris n’est déjà pas le même qu’en province, alors qu’en est-il du français du Québec, de la Belgique, du Congo, du Liban, et de tant d’autres ?
L’équipe de PapierMusique est à l’écoute de votre symphonie de la francophonie.